Près de quatre chefs de chantier français sur dix (39 %) citent la réduction du bruit en premier, devant les émissions de carbone et celles locales, notamment de particules et de NOx (32 %).
En revanche, sur la moyenne des 11 pays européens étudiés, seulement 28 % déclarent que la réduction du bruit constitue le principal motif d'adoption de technologies renouvelables, tandis que 32 % citent la diminution des émissions de carbone en premier.
Cette étude commandée par le fournisseur de solutions énergétiques Aggreko a été réalisée auprès de 853 chefs de chantier en Europe, dont 100 en France.
Retrouver le rapport complet d’Aggreko.