Le mouvement a touché principalement le nucléaire (≈2,1 GW) et l’hydraulique (≈510 MW), sans remettre en cause les échanges : la France est demeurée exportatrice nette d’électricité ce jour-là. L’ampleur est restée limitée, mais d’autres mobilisations peuvent survenir.
En toile de fond, le 1er semestre 2025 a été marqué par 363 heures à prix négatifs et une volatilité accrue des spots (moyenne ≈67 €/MWh), conséquence d’une offre décarbonée abondante et d’un contexte gazier plus tendu.
Côté capacité, Flamanville 3 vise désormais le plein régime avant fin automne 2025, après un décalage annoncé début août. Si ce jalon est tenu, il ajoutera un coussin d’offre utile pour l’hiver.