Le procédé, initialement développé en Argentine, a pour objectif de répondre à la demande croissante de lithium.
Si le test, qui s’effectuera sur une durée d’au moins six mois, est concluant, cela pourrait entraîner des investissements de plusieurs centaines de millions d'euros d'ici 2026.
Cette initiative pourrait contribuer à assurer une production locale de lithium en Europe, crucial alors que la vente de véhicules thermiques neufs sera interdite dans l'UE à partir de 2035.