Une exploitation agricole en Ontario a été la première à expérimenter cette approche en inséminant artificiellement 107 vaches en juin, d'après les informations de Reuters.
Toutefois, certains acteurs de l'industrie demeurent prudents face à cette approche, craignant des problèmes digestifs pour les animaux.
Le ministère de l'Agriculture du Canada indique que bien qu'il n'ait pas encore évalué cette innovation, la réduction des émissions de méthane par le bétail reste d'une importance cruciale.