Le délégué général du syndicat vantait d’ailleurs les capacités industrielles présentent sur le territoire français.
« On a en Europe douze sites de production pour les composants des éoliennes en mer. Sur ces douze sites, il y en a quatre qui sont sur le territoire français. Donc on a un vrai tissu industriel qui est présent. Et on pense que c'est possible parce qu'aujourd'hui c'est une technologie qui est très compétitive. Certes, il y a un enjeu de financement. Mais attirer des financements dans ce secteur, ce n'est pas quelque chose d'insurmontable étant donné qu'on est sur une technologie extrêmement compétitive. »
Réunis à Ostende, en Belgique, la France, l'Irlande, le Luxembourg, la Norvège et le Royaume-Uni se sont joints à l'accord conclu, l'an dernier, entre les Pays-Bas, le Danemark, la Belgique et l'Allemagne.
L’objectif : installer jusqu'à 150 GW d'éoliennes en mer dans la région d'ici à 2050 (avec un palier à 65 GW en 2030).
De son côté, la France vise 40 GW d’éolien offshore en service en 2050 sur l’ensemble des côtes.