Aujourd’hui, de nombreuses innovations existent dans le domaine du développement web pour diminuer l’empreinte carbone des sites internet.
Un site Internet moyen génère 533 kg de CO2 par an.
La part du numérique dans la consommation finale énergétique a augmenté de 70% entre 2013 et 2020.
Une heure de streaming vidéo sur Netflix génère autant de CO2 que parcourir 400m en voiture.
En 2021, 281 milliards d’e-mails ont été envoyés en moyenne par jour.
L’hébergement web vert est un moyen plus écologique d’héberger des sites web.
Un hébergeur web stock les données selon différentes méthodes : le cloud, les serveurs.
Ces derniers fonctionnent 24h/24, il est donc primordial de trouver un hébergement qui agit pour limiter son empreinte carbone.
Les serveurs qui fonctionnent à l’électricité verte ne font appel qu’à des sources d’énergies renouvelables.
Aujourd’hui, il existe également des centres de données dont l’exploitation absorbe 100 % du CO2 produit, comme la startup WindCloud avec son centre de données zéro carbone en mer du Nord.
Ce centre de données est alimenté par de l’électricité verte produite par des éoliennes. La chaleur générée est utilisée pour la culture d’algues qui absorbent le CO2 avant d’être transformées.
Des certificats d'énergie verte validés par des fournisseurs tiers permettent de reconnaître les hébergeurs verts. Il s'agit du Green Power Partnership de l’Environnement Public Administration pour les Etats-Unis, et des normes ISO 14001 et ISO 50001 pour l’Europe.
Un hébergement écologique vous coûtera autant qu’un hébergement classique.
Il existe bien sûr d’autres actions mises en place par les fournisseurs de serveurs en matière d’environnement, comme me recyclage du matériel informatique hors service.
Comment concilier la préservation de la biodiversité et l’utilisation des ENR
Fiche métier : ingénieur en énergies renouvelables