Cet accord signé par les trois syndicats du secteur de l’énergie est une première étape avant l'ouverture de négociations salariales dans les entreprises.
Le texte prévoit une augmentation générale du salaire national de base de 3,3% en deux temps, avec une rétroactivité de 1% au 1er juillet 2022 et le solde de 2,3% au 1er janvier 2023, a indiqué à l'AFP Claude Martin, négociateur de l'accord de branche pour la FNME-CGT, premier syndicat de la branche des industries électriques et gazières (IEG)
Dans le cas où l'augmentation ne garantirait pas un minimum plancher de 1.040 euros bruts de hausse par an en 2023, une enveloppe complémentaire est prévue pour assurer a minima 80 euros de plus par mois. Une mesure qui profitera aux bas salaires.