France Gaz Liquides positionne les gaz liquides renouvelables dans les travaux de la Loi de Programmation Energie Climat et projette la filière comme un acteur majeur de la décarbonation de la ruralité.
Les scénarios proposés via la feuille de route de décarbonation mettent en lumière la capacité de la filière des gaz liquides à atteindre 113% des objectifs gouvernementaux de décarbonation.
Ainsi, 30 746 communes rurales sont impactées par les scénarios de décarbonation, pour lesquelles France Gaz Liquides annonce pouvoir dépasser les ambitions du Gouvernement.
Pour l’association, ces énergies contribuent à une baisse des émissions de CO2 de 78% des territoires ruraux sans avoir recours à une interdiction des chaudières.
Avec 3,13% des émissions de CO2 générées par les gaz liquides sur le secteur du bâtiment, la filière a désormais pour objectif de réduire les émissions liées aux gaz liquides de 38% d’ici à 2030.
Mais la filière ambitionne également de décarboner de 78% les territoires ruraux. Comment ? En combinant les THPE (équipements à très haute performante énergétique), les efforts de sobriété énergétique et le développement des gaz liquides renouvelables.
« Nous avons les capacités de développer une filière renouvelable qui répond pleinement aux enjeux de transition énergétique. Outre le biopropane, le rDME (diméthylether renouvelable), produit par pyrogazéification de déchets ménagers offre un nouveau potentiel d’investissements pour la France, avec des industriels qui souhaitent s’installer en Europe pour leurs unités de productions de biogaz et de gaz bas-carbone. Notre objectif : leur permettre d’y parvenir en France, car il en va de l’avenir énergétique de 94% de la superficie de notre territoire qui est rurale et contient 33% de la population. », précise Audrey Galland, Directrice Générale de France Gaz Liquides.
La CRE fixe les tarifs des infrastructures gazières de transport et de stockage pour la période 2024-2027
Fiche métier : ingénieur biogaz